La noi, dacă îi judecăm pe sociologi doar după sondajele de opinie(partea cea mai vizibilă, poate singura, a activităţii lor!) la mai nimic. Bun, Turambar o să-mi zică ceva de dulce. Asta e!
Dar aş vrea să văd şi eu publicat un studiu de genul ăstuia, făcut de francezi. Să înţelegem şi noi cum stăm, ce modificări sociale a făcut socialismul, ce modificări capitalismul. Ascensorul social urcă, sau coboară? Pe la francezi a cam luat-o în jos. M-aş mira ca la noi să urce zglobiu.
Citez doar un fragment, pentru că mi se pare importantă referirea la rolul educaţiei în ascensiunea socială. "Les phénomènes de décrochage social sont bien réels mais assez limités, indiquent les chercheurs, reprenant les conclusions d'un ouvrage publié par la sociologue Camille Peugny (Le Déclassement, éd. Grasset). Ses travaux ont montré que 22 % à 25 % des trentenaires et quadragénaires se retrouvent aujourd'hui plus bas dans l'échelle sociale que leurs parents. Cette proportion était de 18 % au début des années 1980.
"La progression du phénomène n'est pas contestable. Mais elle reste contenue entre 3,5 et 7 points de plus en vingt ans", notent les auteurs de l'étude. Le rapport pointe le décalage entre ces statistiques et le ressenti de la population.
Education et emploi. Le déclassement à l'embauche constitue une des angoisses fondamentales dans la société française : être recruté sur un poste dévalorisé par rapport à son niveau de formation. Cela est perceptible pour les bacheliers, dont le diplôme n'est plus pertinent pour accéder à des emplois de cadres, ni mêmes de professions intermédiaires. "Ils forment le groupe le plus exposé au déclassement – tant salarial que professionnel", indique l'étude.
La nouveauté est que les diplômés de l'enseignement supérieur, en dehors des grandes écoles, connaissent aussi, désormais, des difficultés d'insertion sociale. Ce "déclassement" s'observe en particulier dans la fonction publique, qualifiée de "cas d'école" par les chercheurs en raison du nombre très élevé de surdiplômés. "64% des jeunes recrutés dans la fonction publique seraient en effet titulaires d'un diplôme supérieur – voire très supérieur – à celui normalement requis pour passer le concours."
Cette situation contribue à expliquer les doutes quant à la méritocratie scolaire – alors même, notent les chercheurs, que le diplôme demeure la meilleure garantie d'emploi et de progression sociale."
Cu alte cuvinte, nici diploma de bacalaureat, şi nici anumite diplome universitare nu mai înseamnă mare lucru pe piaţa muncii. Asta în Franţa, unde se face carte, încă. La noi probabil jalea e şi mai mare.
Dar dacă sociologii nu vin cu studii solide, pe care să le promoveze, să formuleze recomandări, să sensibilizeze opinia publică, se vor alege doar cu înjurături, pe motiv de manipulare.
Un comentariu:
Inflatia de diplome si educatie. Se intampla peste tot, inclusiv la noi (ce mai este un doctorat acum?).
In rest, numai de bine. Ai dreptate: nu sunt buni sociologii astia la nimic. Mama lor de mama noastra.
:) :wink:
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